PARLONS TANGO !

Sur cette page, vous trouverez :

  1. Notre vision du Tango
  2. Un petit lexique du tango
  3. Une brève histoire de 100 ans de tango
  4. Site, radios à consulter


1. Le tango pour notre association, c'est...

  • Avant tout, pouvoir danser en "bal" (milonga) et s'y faire plaisir
  • Une danse d'improvisation et d'interprétation de la musique, à partir d'une base technique
  • Des moments chaleureux et gais à partager, en cours et en bal.
  • Le style ? Ce n'est pas là la question : chacun trouve son style.

2. Petit lexique du "tango argentin"


"Tango argentin" est un terme générique qui non seulement représente un genre musical (au même titre que le swing ou le rock) et aussi une danse
Le Tango Argentin, en tant que danse, inclut trois danses : la milonga avec son rythme rapide très ancrée dans le sol, le tango et la valse argentine (vals).

LES MOTS POUR LA DANSE : 


Abrazo : c'est l'enlacement des danseurs. Il peut être fermé (les danseurs sont joues contre joues ou comme quand on fait un câlin) ou ouvert (les danseurs se tiennent à une distance plus ou moins d'un demi coude l'un de l'autre). L'association privilégie l'abrazo ouvert pour apprendre : il permet de trouver son axe et son espace de danse. 
Pour aller plus loin :  "L'étreinte est tout"

Compas : c'est le rythme, le tempo. Le tango se danse essentiellement sur le tempo principal (4/4) et en contretemps. Compter les temps peut vous aider à danser. 
Les phrases font en général 8 temps, ensuite une respiration, puis une autre phrase.

Espace de danse : Comme le dit si bien L'Intranquille 
"Chaque danseur (en tango comme dans les autres danses) dispose autour de lui d'un cercle, d'un espace, qu'il structure par ses gestes et ses mouvements. (...)
Quand deux danseurs sont enlacés, ce ne sont pas seulement leurs deux corps qui dansent ensemble,(...) mais leurs deux espaces de danse qui jouent ensemble."
            Pour aller plus loin  : la frontière entre les espaces de danse


Giro : le tour. C'est le nom d'une figure : le/la guideur fait tourner autour de lui/d'elle le/la guidé(e) selon une technique particulière.

Guidé / Guideur : Le tango est une danse où chaque danseur a un rôle, sans considération d'appartenance à un genre. Chaque danseur apporte sa part dans la danse, il n'y a pas de passivité dans l'un ou l'autre des rôles.

Maestro : c'est un professeur de tango argentin maîtrisant son art et jouissant d'une bonne réputation, à la fois pour sa technique et sa pédagogie.

Marche : c'est à dire poser le pied l'un après l'autre au rythme de la musique. Une fois maîtrisée, le/la danseur/se maîtrise à la fois  le rythme, sa posture (son axe) et son espace. C'est la base du tango. Pas d'affolement, cela s'apprend avec le temps !

Milonga : danse caractérisée par son rythme joyeux et bien marqué en  2/4, son phrasé permet plusieurs interprétations aux danseurs. (Il a un deuxième sens : le bal. Voir ci-dessous).

Ocho : le huit. C'est aussi le nom d'une figure : la personne guidée dessine des huit avec ses pas, soit en avant, soit en arrière. La particularité de cette figure (comme d'autres), c'est qu'elle demande à ce que le bas du corps tourne et peu ou pas le haut. On appelle cela la dissociation.

Posture : La posture est la façon de se tenir, de mettre en place une organisation corporelle à la fois stable et dynamique. Elle part d'une position "neutre" et confortable pour les danseurs.
Pour aller plus loin : L'importance de la posture


Tango : on distingue trois façons de danser "codifiées". Ces styles sont liées aux évolutions à la fois de la musique et de la danse.
  1. tango milonguero : il se danse joue contre joue voire les danseurs en équilibre l'un contre l'autre (abrazo fermé). Il privilégie la connection entre danseurs et la sensualité. Par contre, ne permet pas de figures complexes. C'est le style le plus traditionnel.
  2. Tango salon : l'abrazo est fermé et s'ouvre pour réaliser des figures complexes. C'est le style de la grande époque jusqu'à ce jour.
  3. Tango nuevo : dernière évolution en date, ce style apparaît dans les années 1980. Il privilégie les figures complexes. il se danse ouvert sur de l'electro-tango (ou de plus vieux tangos).
Vals : valse argentine. Tango qui se danse sur trois temps, privilégiant les nuits (Ochos) et les tours (Giros).

LES MOTS POUR LE BAL : 

Anniversaire : un anniversaire est fêté de façon particulière dans une "milonga". Par une "vals" lors de laquelle, les danseurs du sexe opposé se succèdent pour danser avec la personne dont on fête l'anniversaire.

Cabécéo : hochement de tête par lequel on répond positivement à une invitation à danser. Pour refuser, il suffit de regarder par-terre ou tourner la tête ailleurs.

Comparsita (petite fanfare) : ce tango annonce usuellement la fin du bal. Mondialement connu grâce à la voix de Carlos Gardel, 'on doit ce tango à  Roberto Firpo qui s'était inspiré d'une marche pour étudiant composée par l'uruguayen Gerardo Mattos Rodriguez. Bon... Mais pourquoi ? Parce qu'il clôturait systématiquement une émission radiophonique consacrée au tango dans les années 40 en Argentine. C'est devenu un rituel.

Cortina : rideau. A l'origine, les orchestres de bals faisaient une petite pause entre quelques morceaux, durant laquelle on tirait le rideau. Pendant cette pause, on passait une autre musique pour que les danseurs puissent continuer à danser. Aujourd'hui, dans les bals, cette interruption se fait après chaque Tanda. Elle peut être dansante ou pas suivant le DJ. Elle permet également aux danseurs de quitter la piste.

DJ : Celle/celui qui musicalise un bal de tango (milonga). La/le DJ se doit de proposer une musique permettant à la fois une certaine variété, mais aussi de maintenir une énergie cohérente et régulière pour les danseurs. Son objectif : faire danser et faire "plaisir" ! Aussi, il est amené, comme tout DJ, à adapter la musique en fonction des danseurs et de l'énergie du bal au moment T.

Milonga : le bal. Ce mot a effectivement deux sens : la danse et le lieu où l'on danse. Le bal comporte plusieurs règles à connaître : le sens du bal, les invitations, anniversaire, etc...

Mirada : regard lancé par un danseur pour inviter un autre danseur. cette invitation peut être acceptée par un "cabécéo" ou déclinée. Une fois acceptée les danseurs se rejoignent sur la piste.

Tanda : série de 3 ou 4 morceaux de musique séparée les unes des autres par une "cortina". Traditionnellement, le bal se compose d'une série de 3 (ou 4) tangos instrumentaux, 3 (ou 4) tangos chantés, de 3 vals, de 3 (ou 4) tangos instrumentaux, 3 (ou 4) tangos chantés, de 3 milongas (danse) et ainsi de suite. Chaque DJ peut organiser le bal différemment, il le communique aux danseurs habituellement.

Tanda Rosa :  Ce sont les femmes ou les "guidés" qui invitent lors de cette série de tangos.


Pour enrichir son vocabulaireLa bible du Tango : lexique



3. Brève histoire du tango argentin

Le tango naît sur les 2 rives du Rio de la Plata, dans les faubourgs de Buenos Aires (Argentine) et de Montevideo (Uruguay).

  • Des origines "Sulfureuses" au succès mondial (1870-1920)
En 1853, le gouvernement argentin ouvre ses frontières et encourage l'immigration, tentant de faire venir une main d'oeuvre qualifiée ou des intellectuels. 
Entre 1870 et 1900, ce sont alors des hommes qui fuient l'Europe entière, ses guerres et ses crises, qui arrivent dans le Rio de la Plata. 1,5 million d'hommes à Buenos Aires qui en comptait 250 000, et 200 000 à Montevidéo qui en comptait 100 000. Des hommes surtout, on compte 7 hommes pour 1 femme en 1900. 

Deux conséquences
La première : on crée des quartiers d'hébergement pour les migrants et les populations démunies des provinces locales. Les hommes dansent entre eux, mélangeant leurs rythmes, leurs traditions et leurs chants. 
Deuxième conséquence, une immigration de femmes est organisée, avec promesse de mariage sur place (on parle de "traite des blanches"). Elles atterrissent bien souvent dans les bordels des ports. Et pour faire patienter ces messieurs. entre deux passes, on les fait danser !

Ainsi, c’est entre 1870 et 1890 que naît une musique faite d'un mélange entre cachera, gato et zamba, argentins, habanera cubaine, candombe africain, cumbia, contradanza créolle, polka, flamenco gitan, mazurka et chansons italiennes : la milonga. Caractéristique par son rythme joyeux et bien marqué en  2/4, son phrasé permet plusieurs interprétations aux danseurs, tout comme dans le Tango traditionnel.

Lmilonga, donnera naissance vers 1890-1900 au tango argentin en ralentissant le rythme.


Apparaissent alors les premiers orchestres créoles typiques (orquesta tipica criolla), introduisant une tonalité musicale plus sombre et plus mélancolique. Le bandoneon, s'impose comme l'instrument majeur du tango, lui donnant sa ligne mélodique et un son reconnaissable entre tous. Le piano, d'abord introduit dans les salons, pour rendre cette musique "plus respectable", remplace progressivement la guitare et donne avec la contrebasse le nouveau rythme binaire, plus lent (on passera de 2/4 à 4/8). La danse se codifie petit à petit en générant des figures de plus en plus sophistiquées. Pour aller plus loin : Les rythmes du tango

Coment passe t-on du tango des bas-fonds de Buenos Aires au succès qu'il a connu dans le Monde ?

Avec l'exposition universelle de 1900 et les échanges dans les ports, le tango commence à se faire connaître en Europe.
C'est la haute société et les cabarets parisiens.qui s'emparent de cette nouveauté toute exotique et sensuelle.  En 1907, les premiers enregistrements d'orchestres argentins à Paris, permettent la diffusion de la musique tandis que les écoles de danse fleurissent. Une tangomania s'empare de toutes les capitales européennes que la Grande Guerre ne stoppera pas. En 1914, c'est New York qui est touchée à son tour par cette vague.

A la mode dans la haute société internationale, le tango acquiert ses lettres de noblesse en Argentine. 

Parmi les chefs d'orchestres remarquables de cette période, on peut citer Francisco Canaro, Juan Maglio "Pacho" et Roberto Firpo . C'est l'époque de la  Guardia Vieja  (Vieille Garde) et des premiers grands tangos : El Entrerriano , Don Juan, El Esquinazo , El Choclo ou La morocha.

Entre 1910 et 1920, on entend de nouveaux tangos en nombre, d'autant que l'industrie du disque les diffusent largement. Des chansons structurées apparaissent, c'est la grande vague du tango canzione (chanté). Par exemple, Pascual Contursi écrit en 1915 les paroles de Mi Noche Triste , la chanson devient l'une des plus célèbres du répertoire tango après son interprétation et son enregistrement deux ans plus tard par Carlos Gardel

Les références paillardes laissent place à des paroles sur les principaux thèmes du tango (la nostalgie, l'exil, la perte, la solitude, l'amour perdu, la déchéance, la trahison, Buenos Aires, Paris,…). La Vieille Garde continuera à composer jusque dans les années 20.

La programmation musicale traditionnelle comprend désormais les trois genres reconnus : des tangos argentins, des milongas (danse rapide) et des valses argentines (vals). 


  • L'âge d'or du Tango (1920-1950)

En 1920, la relève est déjà prête. C'est la Jeune Garde (Gardia Nueva) parmi laquelle se dénotent des musiciens tels que Juan D'Arienzo, Julio De Caro, Osvaldo Fresedo, Osvaldo Pugliese et bien d'autres.
En même temps que les orchestres s'agrandissent et que les musiciens se professionnalisent, la Jeune Garde créée un tango plus riche et plus savant.

La deuxième capitale du tango dans les années folles est Paris, où viennent régulièrement les orchestres et les artistes, voire s'y installer à demeure. Le plus argentin des français, Carlos Gardel. Il compose pas moins de 22 tubes, dont le fameux Silencio, en hommage aux soldats de la grande guerre. A Paris, il connaîtra un énorme succès, se produisant sur scène et au cinéma (5 films entre 1932 et 1935). Il contribue ainsi à promouvoir le tango.

On ne dénombre pas moins de 300 tangos évoquant Paris à cette époque.

Si la  grande crise financière de 29, la Grande Dépression et l'apparition du jazz mettent un léger coup d'arrêt au tango en Argentine, son succès à l'international ne se dément pas. Au point que le tango est intégré de façon plus simple dans les bals musettes, avec l'accordéon, en France mais aussi en Finlande où il devient un genre à part entière.

En Argentine, on voit apparaître de nouveaux chefs d'orchestre de grand talent, tels entre autres Juan D'Arienzo ou Rodolfo Biagi avec qui le tango revient à la danse avec des rythmiques plus marquées et plus puissantes. Le musicien Sebastian Piana compose plusieurs milongas poétiques d'un nouveau genre : Milonga del 900  (1930), Milonga sentimental  (1932), Milonga triste (1937), la milonga-candombé Aleluya, etc. Desde el Alma (Du fond de l'âme) est l'une des valses à succès de la période romantique des années 1925-35, portée notamment par Osvaldo Pugliese. Des moments d'émotions marquants.

Osvaldo Pugliese est un disciple des grands rénovateurs de l'école de Julio de Caro, Pedro Maffia et Pedro Laurenz. Son oeuvre musicale opère un changement fondamental dans le tango : une sorte de charnière réunissant sous une nouvelle forme ce qu'il y a de meilleur entre l'ancien tango chanté issu de la Guardia Vieja et renouvellé par la plupart des grands musiciens de la Guardia Nueva, et le Tango Nuevo moderne (dont Astor Piazzola est sans doute le plus connu des représentants) purement instrumental qui s'est largement inspiré de ses créations, .

Les centaines de clubs de quartier de Buenos Aires, bals des faubourgs ouvriers et même les stades accueillent quotidiennement des milliers de danseurs. Avec l'arrivée au pouvoir de Juan Perón (président de l'Argentine de 1946 à 1955, puis de 1973 à 1974), le tango est d'abord censuré, puis fortement encouragé au vu des retombées économiques qu'il engendre : il devient la musique nationale argentine. Est-ce pour cela qu'il est toujours enseigné dans les écoles aujourd'hui ?

Cependant, vers la fin des années 40, la ferveur pour les grands bals et les grands orchestres disparaît progressivement. Un tango de salon plus intime et plus élégant devient la norme et le style de danse dit "milonguero" s'impose.

  • Un autre tango (1950-1980)

Les années 1950 en Argentine, ne sont pas favorables au tango : récession économique,  instabilité politique, manque de moyens, répressions et interdits divers, exil des musiciens, adoption du rock'n'roll par la jeunesse.. De nombreux artistes, écrivains et musiciens, quittent l'Argentine, fuyant les putschs et coups d'État militaires qui se succèderont jusqu'à l'établissement de la dictature militaire en 1966.

En France, il résiste de 1945 à 1975 avec Marcel Azzola, Tino Rossi, Léo Ferré (Le temps du tango), Henri Allibert (Le plus beau Tango du monde), Tani Scala, Tito Fuggi,… et divers bals parisiens comme le Chalet du Lac, la Coupole ou le Balajo.

Dans cette période, certains musiciens créatifs, comme entre autres Aníbal Troilo, Osvaldo Pugliese et Horacio Salgán, expérimentent de nouvelles sonorités, pour les bals. 

C'est surtout Astor Piazzolla qui s'empare du genre à bras le corps et le transforme radicalement : il ne se chante plus, ne se danse plus et devient musique de concert. Il y intègre les canons de la musique classique, les harmonies complexes du jazz, sans perdre les racines de cette musique qui l'a vu grandir.  

Astor Piazzolla joue désormais debout sur la scène, un pied surélevé et sa formation d'alors comprend notamment le grand piano à queue et la guitare électrique.

On peut supposer que si Astor Piazzola ne l'avait pas modernisé, le tango aurait pu simplement disparaître du paysage musical, d'autant que les clubs et cabarets de tango fermaient peu à peu partout dans le monde.


  • La renaissance du tango (1980-2020)

De nombreux compositeurs émergent durant les années 60 et 70, formant ainsi le mouvement dit du "Tango nuevo": Osvaldo Berlingieri, Rodolfo Mederos, Leopoldo Federico, Eduardo Rovira, Atilio Stampone, Ernesto Baffa, etc, chacun apportant des expressions et des résonances diverses et variées (jazzy, brésilienne, africaine, etc).

De 1976 jusqu'à sa chute en 1983, la dictature militaire argentine fait 30 000 disparus, 15 000 fusillés et un nombre incalculable d'exilés, dont bon nombre sont venus se réfugier en France. A travers des oeuvres engagées, ils continuent à faire exister le tango : "tango des exilés". Horacio Ferrer (Balada para un loco) et Roberto Goyeneche assurent eux la relève du tango au niveau international à travers des œuvres puissantes de mélancolie et de résistance.

C'est grâce à la fondation des "Trottoirs de Buenos aires" en 1981, centre culturel pour les argentins exilés ou de passage à Paris, que se constitue le creuset de la renaissance du tango. Carmen Aguiar et Victor Convalia y donneront des cours de tango à partir de 1986.

Le spectacle "Âge d'or" du tango, produit en 1983 à Paris, puis en tournée en Europe puis à Broadway, connaît un succès phénoménal et relance la mode du tango argentin.

C'est une deuxième vague de "tangomania" qui submerge la planète dans les années 1990-2000, Paris et Buenos Aires se partageant toujours la faveur des aficionados. Les cours et les bals tango ouvrent par milliers dans le monde entier,  les concerts et les festivals se multiplient, d'innombrables formations de tango nuevo se créent et toute une génération de nouveaux artistes apparaît sur la scène musicale:  "Tango Negro",  Gotan Project et Bajofondo, Tango Club avec l'electrotango, Sexteto Mayor, les chanteuses Haydée Alba, Adriana Varela, Sandra Rumolino, Lidia Borda, etc. Le cinéma n'est pas en reste avec notamment la sortie de Tangos, l'exil de Gardel de Fernando Solanas (1980), La Leçon de tango de Sally Potter (1997, avec le danseur Pablo Verón) ou encore Tango de Carlos Saura (1998).


4. Pour approfondir le sujet :

Les sources :

Ne ratez surtout pas les Conférences de Ricardo CALVO & Sandra MESSINA  : histoire, films, musiques, démonstrations des danses évoquées ci-dessus au programme. Un vrai bonheur !

histoire documentée du tango par la République des lettres : très très bel article, documenté (extraits de films, de musique, photos), dont ce texte s'est généreusement inspiré et en bonus : une playlist de 100 tangos pour illustrer le propos !

Des documentaires :

Si sos brujo  Une histoire du tango
Muños, Alberto

Raul Barboza – El sentimiento de abrazar
Di Florio, Silvia

Le tango des GauchosBrouwers, Pierre - Une présentation et histoire de l'Argentine


Des Sites : 

  • Todotango   - Site argentin
  • El portal del tango  - Site argentin
  • Discographie de Carlos Gardel : Gardel.org - Páginas de Gardel 
  • Le site Musicargentina - vitrine de la culture argentine - propose, entre autres, un cycle de conférences sur l'histoire du tango, des actualités, interviews, informations locales, ainsi qu'une boutique d'achat en ligne de CD, DVD et livres.  
  • À noter "la Bible du Tango, le site de référence de la planète Tango", une encyclopédie ! 
  • Une base de données très complète des orchestrations de tango sur le site El Recodo Tango, onglets Music pour les interprétations ou Lyrics pour les paroles.
  • Et aussi "Al Tango Fuerte", le site de cette association dédié au tango argentin à Alençon.
  • Et bien sûr le site Histoire du tango, extrêmement complet.

Quelques radios tango sur Internet (classiques)

Vous pouvez utiliser des applications du type Radio.fr ou myTunerRadio (avec cette dernière vous trouverez plus d'une trentaine de radios consacrées au Tango). Ces applications sont téléchargeables pour Mac et autres systèmes.
Il existe directement l'application Tango Music Radio sur Google Play ou Tango Music Radio Live sur l'apple store. Tango Music Radio existe aussi pour les PC. Mais on signale des bugs... Dommage !